MevLy et Ses Poèmes: février 2025

Cette chanson m'a toujours fait des frissons et cela faisait longtemps que je ne l'avais pas écouter

et c'est toujours le cas...

Notre corps est aussi un indicateur sur notre sensibilité

Comme un sabre au-dessus de nos têtes
Comme une illusion qui s'arrête
Comme un chien qui n'a plus de maître
Comme un enfant qui refuse de naître
Vivons le temps que l'on nous prête
Sans gâcher le peu qui nous reste
Essayons d'être beaux et honnêtes
Et gardons la tête hors de l'eau
On dirait des larmes
On dirait de l'eau
Les larmes des maux
On dirait des larmes
On dirait de l'eau
Les larmes des maux
Y'a plus de place pour les batailles
Dans un coeur fatigué de trop
Y'a plus de force dans mes entrailles
Plus qu'un grand frisson dans le dos
Le temps atteint toutes les murailles
Le temps atteint le coeur des maux
On dirait des larmes
On dirait de l'eau
Les larmes des maux
On dirait des larmes
On dirait de l'eau
Les larmes des maux
Comme un incendie qui s'éteint
Le glas de l'amour sonne la fin
On dirait des larmes
On dirait de l'eau
Les larmes des maux...

Chanson de

Herbert Léonard

Je t'aimerai, te caresserai encore
Je marquerai, à tout jamais ton corps
Je te ferai si bien l'amour
Que tu en frissonneras encore au petit jour
Tu ne pourras plus jamais m'oublier

J'irai au bout de tes tabous passés
Et j'oserai ce que tu n'as jamais osé
Avec une infinie patience
J'exorciserai mes rêves de toute ambiguïté
Tu ne pourras plus jamais m'oublier

Oh je t'apprendrai d'abord l'essentiel
J'ajouterai ensuite le superflu
Mais quand je t'aurais tout appris
Je t'apprendrai l'amour et la fidélité
Tu ne pourras plus jamais m'oublier

Je violerai tous tes mystères
Laisserais mon empreinte pour toujours dans ta chair
Tu ne pourras plus jamais m'oublier

Tu m'as aimé, m'a caressé si fort
Que tu as marqué, marqué à tout jamais mon corps
Ho, et tu m'as si bien fait l'amour
Que j'en frisonne encore au petit jour
Je ne pourrais plus jamais t'oublier
Ho, non, non, non-non
T'oublier, non-non
Tu m'as si bien fait l'amour
Ho, que je ne pourrais jamais t'oublier, hé-hé-hé, ho